lundi 28 novembre 2016
dimanche 27 novembre 2016
A Cuba, «la légitimité du régime s’effrite», entretien avec Janette Habel par Lénaïg Bredoux (Mediapart.fr)
Au lendemain de l'annonce de la mort de Fidel Castro, Janette Habel, spécialiste de Cuba et enseignante à l'Institut des hautes études de l'Amérique latine à Paris III, analyse les conséquences de la disparition de l'ancien révolutionnaire devenu despote qui a régné 50 ans sur Cuba. « Cuba vit une période de transition dans tous les domaines », explique la politologue, qui fait également partie du Centre de recherches sur l'Amérique latine et les Caraïbes, à l'université Aix-Marseille.
Elle décrypte aussi les causes des réactions très contrastées provoquées par le décès du “líder maximo”. « Il y a une spécificité du système politique cubain, mal analysé par une pensée manichéenne : c’est soit, pour les uns, la Corée du Nord, soit, pour les autres, le paradis socialiste que l’Union soviétique n’a pas pu incarner. Rien de cela ne répond à la complexité de la réalité cubaine », estime Janette Habel.
Mobilisation générale contre le monstre Trump !, par Yorgos Mitralias
Personne ne peut prévoir si Trump restera fidèle à ses effrayantes promesses électorales. Par contre, il est déjà plus que certain que son élection à la présidence des Etats Unis donnera des ailes à la pire extrême droite partout au monde, et naturellement en Europe et en Grèce.
Alors, ne serait-ce que pour cette seule raison, la situation est suffisamment alarmante pour que soit qualifié d’irresponsable et même de criminel tout comportement et prise de position qui sous-estime le danger, fait preuve d’aveuglement et paralyse la réaction des citoyens.
Pourtant, un simple coup d’œil aux premières réactions des medias nord-américains et européens suffit pour qu’on soit conduit à la triste conclusion qu’on n'a rien appris des tragédies d’hier puisque le présent commence à présenter d’extraordinaires similitudes avec le passé.
Alors, ne serait-ce que pour cette seule raison, la situation est suffisamment alarmante pour que soit qualifié d’irresponsable et même de criminel tout comportement et prise de position qui sous-estime le danger, fait preuve d’aveuglement et paralyse la réaction des citoyens.
Pourtant, un simple coup d’œil aux premières réactions des medias nord-américains et européens suffit pour qu’on soit conduit à la triste conclusion qu’on n'a rien appris des tragédies d’hier puisque le présent commence à présenter d’extraordinaires similitudes avec le passé.
mardi 22 novembre 2016
Appel pour la suspension de l’Accord d’Association Union Européenne - Israël
Depuis l’occupation de la Cisjordanie et de Gaza et l’annexion de Jérusalem-Est et du plateau du Golan, en 1967, Israël viole quotidiennement le droit international et les résolutions des Nations Unies.
Parmi ces violations, dont certaines constituent des crimes de guerre, mentionnons la construction de colonies de peuplement dans les territoires occupés et celle du mur de séparation, le recours à des emprisonnements sans jugement, à des mauvais traitements et à des conditions de détention des Palestiniens contrevenant à la Quatrième Convention de Genève, le non-respect des règles sur la conduite des hostilités lors d’offensives contre Gaza et les entraves aux missions médicales dans les territoires occupés, etc.
dimanche 20 novembre 2016
Nous n'acceptons pas de voir notre passé commun insulté par Jean-Luc Mélenchon
Nous venons de lire le blog de Jean-Luc Mélenchon qui, pour s’en prendre à la couverture de sa campagne présidentielle par Le Monde, choisit de calomnier le passé militant d’un des journalistes de cette rédaction, en charge de l’Amérique latine.
Paulo Paranagua est ainsi décrit par le candidat de « La France insoumise » comme un « assassin repenti » en tant qu'ancien dirigeant de la « Fraction rouge de l'ERP d'Argentine », qu’il qualifie de « groupe de provocateurs ».
Jean-Luc Mélenchon n’hésite pas à qualifier Paulo Paranagua de « muse de la CIA », l’accusant à demi-mots d’être responsable « de la mort de toutes les personnes qui l’ont approché sur place ». Ces accusations sont lancées sans l’ombre du début d’une preuve, sans qu’aucun fait ne viennent les étayer. C’est inacceptable.
Paulo Paranagua est ainsi décrit par le candidat de « La France insoumise » comme un « assassin repenti » en tant qu'ancien dirigeant de la « Fraction rouge de l'ERP d'Argentine », qu’il qualifie de « groupe de provocateurs ».
Jean-Luc Mélenchon n’hésite pas à qualifier Paulo Paranagua de « muse de la CIA », l’accusant à demi-mots d’être responsable « de la mort de toutes les personnes qui l’ont approché sur place ». Ces accusations sont lancées sans l’ombre du début d’une preuve, sans qu’aucun fait ne viennent les étayer. C’est inacceptable.
vendredi 18 novembre 2016
USA : Don't mourn, organize ! (Ne prenez pas le deuil ! Organisez-vous !) , par Mathieu Dargel
Une fois le choc de l’élection de Trump passé, mardi dernier, les
organisations et courants politiques de la gauche radicale américaine
ont commencé à s’interroger sur les raisons et sur les conséquences de
cette élection. Nous avons déjà publié quelques-unes de ces analyses sur
notre site. Aujourd’hui, le débat est lancé. Comment résister, comment
mobiliser, quelle organisation, quelles structures ?
Dès le lendemain de l’élection de Donald Trump, le comité éditorial du magazine Jacobin (www.jacobinmag.com) posait en des termes très clairs le bilan de la campagne électorale, tant celle de Clinton que celle de Sanders et proposait à l’ensemble des forces de la gauche radicale américaine des pistes pour l’action et la réflexion.
Dès le lendemain de l’élection de Donald Trump, le comité éditorial du magazine Jacobin (www.jacobinmag.com) posait en des termes très clairs le bilan de la campagne électorale, tant celle de Clinton que celle de Sanders et proposait à l’ensemble des forces de la gauche radicale américaine des pistes pour l’action et la réflexion.
mardi 15 novembre 2016
Etat espagnol. «Les habitants d’Andalousie sont fatigués d’attendre des solutions qui n’arrivent jamais». Entretien avec Teresa Rodriguez
Teresa Rodríguez a fait des ravages lors du nouveau processus de
primaires [de Podemos Andalousie], où elle conserve le poste de
secrétaire générale de Podemos Andalousie. Les chiffres sont massifs:
Teresa a obtenu 75,64% des suffrages exprimés, accumulant un total de
13’184 voix, loin devant ses rivales, toutes deux s’inscrivant dans le
sillage de ce que l’on nomme «l’errejonisme, [du nom du numéro deux de
Podemos, Íñigo Errejón]. Carmen Lízarraga a à peine dépassé les 2000
voix (11,59%) alors que Begoña Gutiérrez, désignée par l’équipe de
Sergio Pascual, le secrétaire à l’organisation de Podemos – déposé [en
mars 2016] – doit se contenter d’une pauvre troisième place avec 1946 voix (11,16%). Sergio Pascual lui-même, qui se présentait au Conseil citoyen de
Podemos Andalousie, a été surpris par son triste et éloquent résultat:
3’455 voix, arrivant en 29e position sur les 34 délégués. La
victoire de Teresa Rodríguez est encore plus importante si l’on tient en
compte que la participation à ces élections primaires a triplé par
rapport aux précédentes, passant de 6000 suffrages à 17’622.
Préface de Michel Warschawski au livre d’Ilan Halevi : Question juive – La tribu, la loi, l’espace
Quiconque a connu Ilan d’un peu près sait qu’il était porteur d’identités nombreuses et a vécu de nombreuses vies. Et pourtant, on a toujours et encore des surprises.
Ilan et moi avons été amis pendant plus de quarante ans, mais c’est aujourd’hui, en relisant Question juive que je découvre encore une autre facette, qui m’avait échappée pendant des décennies.
Je l’avais pourtant lu au moment de sa publication, sans doute un peu rapidement et superficiellement, m’imaginant qu’il n’aurait rien de nouveau à m’apprendre sur un sujet dont j’avais déjà fait un mémoire au cours de mes études universitaires. Et voilà que Mariam, sa fille, m’a demandé d’écrire une préface pour sa réédition.
Moins arrogant que pendant ma jeunesse, je viens de relire l’ouvrage, du début à la fin, et je découvre encore un Ilan. L’expert en histoire juive. Quand on côtoyait Ilan, on n’avait de cesse de découvrir son immense érudition : il connaissait un nombre inimaginable de sujets, dont il pouvait parler pendant des heures, intégrant quantités d’anecdotes à une trame historique serrée. Sur le jazz il était intarissable, de même que sur l’histoire, ou plutôt les histoires, de l’Afrique ou des Caraïbes, avec des connaissances fournies et détaillées.
Je l’avais pourtant lu au moment de sa publication, sans doute un peu rapidement et superficiellement, m’imaginant qu’il n’aurait rien de nouveau à m’apprendre sur un sujet dont j’avais déjà fait un mémoire au cours de mes études universitaires. Et voilà que Mariam, sa fille, m’a demandé d’écrire une préface pour sa réédition.
Moins arrogant que pendant ma jeunesse, je viens de relire l’ouvrage, du début à la fin, et je découvre encore un Ilan. L’expert en histoire juive. Quand on côtoyait Ilan, on n’avait de cesse de découvrir son immense érudition : il connaissait un nombre inimaginable de sujets, dont il pouvait parler pendant des heures, intégrant quantités d’anecdotes à une trame historique serrée. Sur le jazz il était intarissable, de même que sur l’histoire, ou plutôt les histoires, de l’Afrique ou des Caraïbes, avec des connaissances fournies et détaillées.
jeudi 10 novembre 2016
Comment ce monstre a-t-il pu gagner ? par Socialist worker
Editorial publié sur le site Socialistworker.org
De nombreux lecteurs de Socialist Worker ayant de jeunes enfants nous ont commenté sur les réseaux sociaux, tard la nuit passée, qu’ils avaient couché leurs enfants en les assurant que le monstre ne gagnerait pas. Ils redoutaient d’avoir à expliquer comment «cela» pouvait se produire. Nous savons tous comment ils se sentent.
La victoire de Donald Trump expose la décrépitude à laquelle est arrivé le système politique américain après des décennies de gouvernement oligarchique des deux partis. Il s’agit d’un homme qui dispose de liens avec l’extrême droite raciste, un narcisse pathologique qui s’est lancé dans la course à la présidentielle avec le but de stimuler sa marque médiatique. Il horrifie et dégoûte non seulement des millions de membres de la classe laborieuse, mais une majorité de la classe dominante américaine.
De nombreux lecteurs de Socialist Worker ayant de jeunes enfants nous ont commenté sur les réseaux sociaux, tard la nuit passée, qu’ils avaient couché leurs enfants en les assurant que le monstre ne gagnerait pas. Ils redoutaient d’avoir à expliquer comment «cela» pouvait se produire. Nous savons tous comment ils se sentent.
La victoire de Donald Trump expose la décrépitude à laquelle est arrivé le système politique américain après des décennies de gouvernement oligarchique des deux partis. Il s’agit d’un homme qui dispose de liens avec l’extrême droite raciste, un narcisse pathologique qui s’est lancé dans la course à la présidentielle avec le but de stimuler sa marque médiatique. Il horrifie et dégoûte non seulement des millions de membres de la classe laborieuse, mais une majorité de la classe dominante américaine.
Etats-Unis – Trump à la Maison blanche : La droite dure contre l’establishment ?, par Dan La Botz*
Il est cependant sûr que sa victoire va conduire à des attaques contre le monde du travail, les femmes, les latinos, les afro-américains et les personnes LGBT Le triomphe de Trump est une défaite cuisante pour le Parti démocrate. Il marginalise le petit Parti Vert (1%), tandis que le Parti libertarien de Gary Johnson fait trois fois mieux.
mardi 8 novembre 2016
Chine : Xi Jinping, un nouveau Mao ?, par Pierre Rousset
Le sixième plénum du comité central du PCC a doté Xi Jinping du titre de « cœur du parti », décerné par le passé à Mao Zedong, puis Deng Xiaoping. Xi consolide sa mainmise sur le parti en vue du congrès qui se tiendra l’an prochain. Il cherche à prévenir l’explosion d’une crise sociale généralisée en poursuivant l’expansion internationale du nouvel impérialisme chinois.
Xi Jinping, officiellement surnommé Xi Dada (« tonton Xi »), contrôle aujourd’hui l’essentiel des rouages nationaux du régime. Il est secrétaire général du PCC, président de la commission militaire centrale et président de la République populaire. Il a aussi pris la direction de plusieurs organes en charge de la sécurité nationale, de la cybersécurité, des réformes économiques. Il s’est intronisé commandant en chef de l’armée, comme si son poste à la tête de la commission militaire ne suffisait pas.
Xi Jinping, officiellement surnommé Xi Dada (« tonton Xi »), contrôle aujourd’hui l’essentiel des rouages nationaux du régime. Il est secrétaire général du PCC, président de la commission militaire centrale et président de la République populaire. Il a aussi pris la direction de plusieurs organes en charge de la sécurité nationale, de la cybersécurité, des réformes économiques. Il s’est intronisé commandant en chef de l’armée, comme si son poste à la tête de la commission militaire ne suffisait pas.
dimanche 6 novembre 2016
Climat : la COP22 au Maroc et la ratification de l’accord de Paris : cette transition n’est pas la nôtre !, par Daniel Tanuro
Le
4 octobre, septante-quatre pays représentant plus de 55% des émissions
de gaz à effet de serre avaient ratifié l’accord de Paris sur le climat.
Il entrera donc en vigueur le 4 novembre, juste avant la COP22 à
Marrakech (Maroc), du 7 au 18 novembre.
Cet accord a été complété par un autre : le phasing out des HFC, décidé dans le cadre du Protocole de Montréal sur la couche d’ozone [1]. Le pouvoir radiatif de ces HFC est plusieurs milliers de fois supérieur à celui du CO2. Leur interdiction permettra de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 90GT d’équivalent CO2 d’ici 2050, par rapport aux prévisions.
Discours rassurants
Cet accord a été complété par un autre : le phasing out des HFC, décidé dans le cadre du Protocole de Montréal sur la couche d’ozone [1]. Le pouvoir radiatif de ces HFC est plusieurs milliers de fois supérieur à celui du CO2. Leur interdiction permettra de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 90GT d’équivalent CO2 d’ici 2050, par rapport aux prévisions.
Turquie : "jusqu'à ce que l'espoir apparaisse". Déclaration de Yeniyol, section Turquie de la IV. Internationale
La tentative de coup d’Etat militaire orchestrée par l’ancien allié du régime, la confrérie Gülen dans la nuit du 15 juillet 2016 a donné l’occasion à Erdogan d’entreprendre une tentative de coup d’Etat civil afin d’anéantir toute possibilité et capacité d’opposition au régime dictatorial que ce dernier essaye de forger.
L’arrestation, ce vendredi dernier, le 4 novembre 2016, des porte-paroles, dirigeants et députés du Parti démocratique des peuples (HDP), parti de gauche issu du mouvement kurde, signifie le franchissement d’une étape décisive pour la construction de cette dictature islamo-nationaliste.
L’arbitraire de l’Etat d’urgence qui a été décrété à la suite de la tentative putschiste a permis au “Duce” d’Ankara de s’engager dans une restructuration de tout l’appareil d’Etat ainsi que de la fonction publique. Ainsi des dizaines de milliers de personnes ont été limogé, licencié, arrêté dans le cadre d’opérations anti-terroristes. Plus d’une centaine de médias (journaux, télévision, radios, revues) ont été interdits, des milliers d’associations, d’écoles, de fondations, d’universités et d’hôpitaux ont été fermé.
L’arrestation, ce vendredi dernier, le 4 novembre 2016, des porte-paroles, dirigeants et députés du Parti démocratique des peuples (HDP), parti de gauche issu du mouvement kurde, signifie le franchissement d’une étape décisive pour la construction de cette dictature islamo-nationaliste.
L’arbitraire de l’Etat d’urgence qui a été décrété à la suite de la tentative putschiste a permis au “Duce” d’Ankara de s’engager dans une restructuration de tout l’appareil d’Etat ainsi que de la fonction publique. Ainsi des dizaines de milliers de personnes ont été limogé, licencié, arrêté dans le cadre d’opérations anti-terroristes. Plus d’une centaine de médias (journaux, télévision, radios, revues) ont été interdits, des milliers d’associations, d’écoles, de fondations, d’universités et d’hôpitaux ont été fermé.
samedi 5 novembre 2016
Turquie : Défense collective des député.e.s et co-président.e.s du HDP. 4 novembre 2016.
Ainsi il a conduit le pays dans une période d'affrontements, dans le seul but d'augmenter ses voix. Surfant sur les peurs, l'AKP a pu regagner la majorité durant les élections anticipées organisées dans ce chaos.
vendredi 4 novembre 2016
Le HDP est notre honneur ! Contre la dictature en Turquie !
Le régime d'Erdogan a franchi un nouveau cap la nuit du 3 au 4 novembre 2016 avec la mise en détention des deux co-présidents du HDP, Selahattin Demirtas et Figen Yüksekdag, ainsi que 9 autres députés.
Ces opérations de police font suite à de nombreuses autres qui ont été menées contre des "universitaires pour la paix", des journaux de gauche et kurdes, des syndicats et des associations...
Dans le même temps, des dizaines de milliers de personnes ont perdu leur emploi dans la fonction publique où le syndicalisme de gauche est décapité et une trentaine de mairies kurdes ont été mises sous tutelle de l'Etat (y compris la plus importante Amed/Diyarbakir dont les maires sont incarcérés) .
Ces opérations de police font suite à de nombreuses autres qui ont été menées contre des "universitaires pour la paix", des journaux de gauche et kurdes, des syndicats et des associations...
Dans le même temps, des dizaines de milliers de personnes ont perdu leur emploi dans la fonction publique où le syndicalisme de gauche est décapité et une trentaine de mairies kurdes ont été mises sous tutelle de l'Etat (y compris la plus importante Amed/Diyarbakir dont les maires sont incarcérés) .
mardi 1 novembre 2016
Etat espagnol : la crise du PSOE ou la fin d’un cycle historique de la social-démocratie, par Jaime Pastor
« Le PSOE ne communique que du haut vers le bas, il fonctionne comme courroie de transmission de l’Etat vers la société. De la sorte, un parti ne peut survivre. Il se transforme en nomenclature », affirmait le 30 octobre 1990 Jesús Ibáñez [1].
Alors même qu’il a été possible de vérifier à nouveau la ferme volonté de Rajoy de ne rien changer sur l’essentiel des politiques développées jusqu’à aujourd’hui, la majorité du groupe parlementaire socialiste, à l’exception de 15 de ses membres – parmi eux tous les députés du PSC [Parti socialiste catalan] – a fini par s’abstenir lors du vote d’investiture [comme président du gouvernement] d’un parti qualifié d’organisation criminelle par les tribunaux.
Alors même qu’il a été possible de vérifier à nouveau la ferme volonté de Rajoy de ne rien changer sur l’essentiel des politiques développées jusqu’à aujourd’hui, la majorité du groupe parlementaire socialiste, à l’exception de 15 de ses membres – parmi eux tous les députés du PSC [Parti socialiste catalan] – a fini par s’abstenir lors du vote d’investiture [comme président du gouvernement] d’un parti qualifié d’organisation criminelle par les tribunaux.
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